Je n’ai pas lancé Oria Orbyt pour “répondre à un besoin marché”.
J’ai commencé parce que, comme beaucoup, j’ai été happé par l’IA.
Mais au lieu de faire joujou avec ChatGPT, j’ai eu envie d’aller plus loin. D’intégrer, de structurer, de rendre tout ça vraiment utile.

Et très vite, j’ai vu ce que ça pouvait changer dans une agence :
le temps qu’on gagne, la charge mentale qu’on dépose, l’effet que ça a sur les clients quand tout est fluide, précis, pro — même en étant solo.

Alors j’ai construit un système.
Puis je l’ai reconstruit. Simplifié. Encapsulé. Supervisé.
Pas pour remplacer les gens. Mais pour que les bons fondateurs aient enfin une structure qui tourne, sans se perdre dans les outils ou le code.

Aujourd’hui, Oria Orbyt est ce que j’aurais rêvé d’avoir si j’avais dû tout gérer seul.
Et c’est exactement ce que je vous livre, avec vous.